Assistance à la ménopause à des dérèglement glycémiques certains

Les formes graves, type maladie de Basedow, sont évidentes, mais la notion de ménopause fait parfois négliger des formes frustes.

Examen de contrôle

Une fébrilité électrique, une impression de frémissement généralisé, de yeux trop brillants doivent conduire à un examen de contrôle.

Aucun signe d’hyperthyroïdie léger ou grave, aucun cas de maladie de Basedow, ne sont signalés chez des femmes sous hormonothérapie substitutive.

On assiste à la ménopause à des dérèglements glycémiques certains ; la STH et couramment augmentée de plus du double ce qui est énorme.

Les statistiques montrent la coïncidence à un an près entre l’âge moyen de la ménopause et celui d’apparition du diabète de la femme, 15 ans avant celui de l’homme. Beaucoup plus nombreux, ces diabètes féminins augmentent jusqu’à atteindre le double des diabètes masculins vers 60 ans.

Diabètes

Diabètes

Les surrénales

Les surrénales sont parfois suractivées par une sécrétion anormale d’ACTH occasionnent une obésité et un syndrome viriloïde.

L’arthrose ménopausique

L’arthrose ménopausique fait suite à une phase d’hyperactivité cartilagineuse qui peut bien être causée par la STH et la TSH. Après cette hypertrophie cartilagineuse apparaît une dégénérescence secondaire à la déficience de nutrition de ces tissus.

Presque toutes les sécrétions de voisinage : aldostérone(rétention d’eau), médiateurs chimiques (troubles neuro-végétatifs), vaso-pressine (hypertension), peuvent être excitées.

Enfin, nombre de complication de la ménopauses et particulièrement certains cancers, se développent dans un climat pathologique typiquement hypophysaire, avec : diabète + obésité + hypertension.

Les complications d’entraînements

Comme presque toutes les autres complications, les complications d’entraînement ne sont pas caractérisées au début par une véritable organicité. Mais cela ne les empêche pas de pouvoir atteindre une gravité extrême.

Par ailleurs, l’extrême complexité des interactions hormonales tend à empêcher tout retour spontané à la normale et favorise au contraire le passage à une chronicité redoutable.

La ménopause peut jouer ici le rôle d’inducteur de pathologies graves.

Hypothalamo-hypophysaire

Hypothalamo-hypophysaire

Une thérapeutique œstro-progestative préventive ou précoce peut, à leur début, stopper ces dérèglements en freinant l’excitation hypothalamo-hypophysaire, et de fait les femmes traitées correctement et dont l’hypothalamus est maintenu au calme ne voient jamais apparaître ce type de désordres.

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