Un fil conducteur dans les perturbations ménopausiques

Certains spécialistes s’acharnaient à trouver un fil conducteur dans les perturbations ménopausiques.

Des spécialistes font des recherches

Des spécialistes font leurs recherches

Des spécialistes font leurs recherches

Dès que les dosages hormonaux furent à leur disposition, ils commencèrent à chercher systématiquement, méthodiquement une relation entre les différents déséquilibres. L’hormone n’était manifestement pas nocive en elle-même.

Il fallait donc que quelques déséquilibres, soit dans sa sécrétion, soit dans ses associations, soient à l’origine des troubles constatés.

Malheureusement, une trop grande séparation de discipline comme, par exemple, l’histologie ou la biochimie, ici inséparables pour une juste évaluation des phénomènes pathologiques ou physiologique, devant longtemps prolonger les confusions.

Pourtant, il devait devenir rapidement évident que ce n’est pas un précoce de la progestérone qui était à l’origine de ces fameux troubles soit-disant hyper-œstrogéniques.

Conducteur trouvé

A partir de là le fil conducteur était trouvé.

Mais les malheureux praticiens qui, sûrs de leurs chiffres, de leurs études, de leurs raisonnements, voulurent commencer  faire des traitements logiques et adaptés aux troubles qu’ils avaient soigneusement décelés et mesurés se heurtèrent à une opposition féroce, viscérale, qui n’est pas besoin de décrire.

Tout le monde l’a connue pendant la guerre des contraceptifs.

Si elle a été si démesurée, si fanatique devant des pressions aussi fortes que les drames de grossesses impossibles, des avortements, ou le phénomène mondial de surpopulation, comment ne pas imaginer son ampleur devant une sujet aussi futile que la ménopause !

Les études progressaient de plus en plus rigoureuses et étendues, la liste des complications de privation hormonale grandissait, implacable, et la lutte restait pourtant féroce et acharnée.

Pendant 15 ou 20 ans, le spécialiste qui prescrivait un traitement physiologique substitutif pouvait compter, presque à coup sûr, que sa patiente rencontrerait un chœur de familiers atterrés et de confrères scandalisés qui oubliant toute déontologie formuleraient des interdictions sévères et des jugements définitifs sur son compte.

Or, dans le même temps, de nombreuses femmes sous contraceptifs les continuaient d’elles-mêmes tardivement d’une grossesse les accompagne pratiquement jusqu’à la cinquantaine et même au delà).

Une échelle d’expérimentation pharmacologique étendue

Le nombre d’utilisatrices puissamment motivées par les contraceptifs étant infiniment supérieur à celui des femmes prêtes à entreprendre un traitement de ménopause, on obtint ainsi une échelle d’expérimentation pharmacologique bien plus étendue que celle de la recherche scientifique.

Malgré, les avertissements alarmistes, les prédiction funestes, prodiguées avec usure sur les ondes ou dans les publications professionnelles et non professionnelles du monde entier, ces utilisatrices obstinées, rejoignant sans une large échelle, la preuve du rôle thérapeutique rapidement et sur une large échelle.

La preuve du rôle thérapeutique indiscutable de ces hormones sur l’effacement de la ménopause et de ses troubles, de l’absence de tout phénomène secondaire fâcheux, de l’effet de conversation notable qui semble accompagner de façon constante l’effacement des troubles.

Chez elles, comme chez tous les sujets en observation dans les services d’ostéopathie ou de cardiologie :

  • ostéoporose ou dégradation du système osseux féminin, athérosclérose semblaient indéfiniment repoussées
  • l’atrophie génitale et tégumentaire également
  • toute une pathologie gynécologique semblait évitée
  • les taux de cancers s’abaissaient dans toutes les statistiques !
Cardiologie

Cardiologie

Presque involontairement, les contraceptifs avaient fait la preuve de l’inocuité hormonale, lorsque la progestérone est suffisamment assurée.

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